Drucourt Les femmes de la commune à la fête

  • Commentaires de la publication :0 commentaire

Même si elle n’est pas gravée dans la constitution, la fête de la Femme à Drucourt est bien ancrée dans les traditions du Club des Rubans.

 

Ainsi samedi midi dernier, à la salle communale, une fière brigade d’une dizaine de membres et des cuisiniers de l’ombre attendaient, avec confiance, les quelque soixante-quatre convives qui avaient répondu favorablement à l’invitation de Jean-Louis Beaudry et de son équipe.

Et une fois encore le décor avait été soigné: tables joliment décorées avec des nappes, traversées d’un chemin de table bleu et jaune borné de bouquets de jonquilles et de petits pots de kalankoés, alors que dans les assiettes, glissé dans une serviette de bienvenue bordée d’or, un court poème tel un haïku japonais: “La femme est comme le sel, sa présence peut ne pas être remarquée. Mais son absence rend la vie fade…Honneur à vous les femmes”.

Dressé en évidence, un menu annonçait un déjeuner très prometteur servi après le cocktail apéritif et ses toasts maison.

Terrine de poisson et de légumes, trou normand à base de gelée de coing, parmentier de canard accompagné de petits légumes et de quelques feuilles, mâche en salade servant de lit au fromage, amandine aux poires réalisé par Jean-Louis Almin qui, une fois encore s’il en était besoin, montrait qu’il n’avait pas perdu la main.

Au cour du repas, le président animait un petit quiz sous forme de mots croisés, avant la lecture finale par Jean-Claude Nion de Vieillir, un poème de Victor Hugo.

Enfin, à l’heure des remerciements pour les acteurs de cette fête réussie et de l’inéluctable séparation, Jean-Louis Beaudry eut le plaisir de remettre une jolie rose à chaque invitée, comme consolation à l’obligation de se quitter.

Laisser un commentaire